Malgré une augmentation des accidents de la route attribués à la consommation de protoxyde d’azote, dit « gaz hilarant », une part non négligeable de Français, notamment les jeunes de moins de 25 ans, ne mesure pas la dangerosité d’une conduite sous l’empire de protoxyde d’azote.
Dès la première prise, la consommation de protoxyde d’azote peut entraîner des vertiges et une perte de connaissance. Au volant, le danger est d’autant plus important : « trous-noirs au volant », perte de contrôle du véhicule…
Découvrir quelles sont les conséquences de la consommation de protoxyde d'azote.
Aujourd’hui le protoxyde d’azote est consommé de manière détournée pour un usage récréatif, notamment par les jeunes de moins de 25 ans.
Découvrir qu’est-ce que le protoxyde d’azote ?
Plus d’un jeune de moins de 25 ans sur 10 pensent qu’être passagers d’une voiture dont le conducteur a pris du protoxyde n’est pas non plus dangereux.
Cette trop faible conscience des risques de la part des conducteurs ou des passagers de cette tranche d’âge se traduit par des comportements inconscients.
C’est pourquoi, la Fondation VINCI Autoroutes a lancé une campagne de sensibilisation aux risques liés à la consommation de protoxyde d’azote, en particulier lors de la conduite.
Découvrir la campagne de sensibilisation
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